Économie de la fonctionnalité et de la coopération (EFC)


L’économie de fonctionnalité et de la coopération (EFC) est un modèle économique qui repose sur la vente d’un usage ou même d’une performance plutôt qu’un objet ou un service.
L'incertitude et la courte visibilité grandissantes nous poussent à s'interroger sur la façon de fidéliser ses clients, atteindre ses objectifs de croissance et pérenniser son activité.
- Quelle nouvelle relation peut-on imaginer avec nos clients existants et futurs ?
- Comment valoriser nos compétences et autres actifs intangibles ?
- Comment répartir la valeur entre toutes les parties prenantes ?
Cet atelier vous apportera des éléments de réponse à vos enjeux d'économie de la fonctionnalité.
Dans ce modèle, il n’y plus de transfert de propriété du bien qui reste propriété du producteur sur tout son cycle de vie. Celui-ci a alors intérêt à augmenter la durabilité du produit, et minimiser les externalités environnementales (consommation d’eau, d’énergie, production de déchets). On parle, dans ce cas, de découplage entre valeur ajoutée et consommation de ressources.
Cette nouvelle approche permet également de relocaliser des emplois associés notamment à la surveillance et la maintenance du bien pour l’usage proposé. L’économie de la fonctionnalité offre une nouvelle approche favorisant l’efficience économique, environnementale et sociétale et contribue au développement durable.
Comment ce modèle peut-il être envisagé dans votre secteur d’activité ? Quels en sont les points fondamentaux ? Comment en parler en interne ? Quels sont les points de vigilance ? Quels sont les critères-clés de réussite ?
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L'actualité Service&Sens

L'impact des biais cognitifs dans le recrutement
"Quand on parle d’erreurs de recrutement, on pense souvent à ceux qu’on a recrutés et qu’on n’aurait pas dû. Mais on oublie ceux qu’on n’a pas recrutés et qui auraient été une bonne ressource", selon Marie-Sophie Zambeaux. Dans son ouvrage "Recrutement sous influence : libérez-vous des biais cognitifs", Marie-Sophie Zambeaux, auteure et conférencière spécialisée en recrutement et marque employeur, explore les 20 biais cognitifs les plus néfastes dans les processus de recrutement et propose des conseils pratiques pour lutter contre ces filtres mentaux inconscients.

Le management à la française doit se dé-verticaliser
En matière de pratiques managériales, la France souffre de la comparaison avec ses voisins européens. C’est ce qui ressort d’un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) rendu public en mars. A partir d'une analyse d’études et de nombreux entretiens réalisés auprès d’entreprises, partenaires sociaux et experts, l’organisme, dont l'une des missions est le conseil aux pouvoirs publics, rapporte que la France se trouve «dans une position peu flatteuse» par rapport aux pays où les auteurs de son étude se sont déplacés, l’Allemagne, l’Italie, la Suède et l’Irlande.

Le leader du futur sera-t-il autoritaire ?
La bienveillance, le respect et l’écoute en matière de leadership sont pourtant encouragés depuis de nombreuses années dans les organisations. Ces caractéristiques sont souvent présentées comme les qualités indispensables du leader moderne et performant. Comment expliquer dès lors le retour d’un leadership autocratique généralement associé à des temps révolus ?Ce renouveau marque-t-il la fin des leaders bienveillants et le début d’une nouvelle ère en matière de management ? Ou illustre-t-il un phénomène ponctuel lié à un contexte spécifique ?